Ce lundi 19 septembre 2016, un hommage a été rendu à Huguette de Broqueville par le PEN francophone de Belgique à la Maison de l’Association des Écrivains de Belgique (AEB) sous la présidence de Jean-Baptiste Baronian.
Pas moins d’une cinquantaine de personnes étaient présentes pour mettre en valeur les écrits d’Huguette. Incontestablement deux de ses romans, « Tentation » et « Lydia, l’éclat de l’inachevé » sont considérés, par beaucoup, comme les éléments relevant le sommet de son art : l’écriture.
Huguette de Broqueville était donc un grand écrivain au yeux de ses pairs. Les interventions de Jean-Baptiste Baronian (écrivain et académicien), de Claire-Anne Magnès (écrivain, philologue, chroniqueuse, traductrice, critique) et de Anne Richter (nouvelliste, essayiste, anthologiste) ont été remarquables. Cette dernière a fait un très beau travail de critique littéraire sur « Lydia, l’éclat de l’inachevé ». Son texte mériterait d’être publié tant la critique est belle.
C’est d’ailleurs cet hommage qui m’a incité à relancer l’idée d’un blog pour continuer à faire vivre sa mémoire ainsi que à l’œuvre d’Huguette de Broqueville, ma mère.
Nous avions toujours convenu, qu’en littérature, notre mère (nous sommes trois enfants), nous l’appelions par son prénom. Pour ma part, quand un livre « choquait » et que l’expression consacrée était : « Mais comment ta mère a pu écrire cela ? », je répondais invariablement : « Ce n’est pas ma mère qui a écrit ce texte, c’est Huguette de Broqueville, écrivain.
Il en sera de même dans le blog tout au long des textes déjà publiés ou de la publication d’inédits, je garderai cette tradition du fils appelant sa mère par son prénom.
Géry de Broqueville
Bonjour, ceci est un commentaire.
Pour débuter avec la modération, la modification et la suppression de commentaires, veuillez visiter l’écran des Commentaires dans le Tableau de bord.
Les avatars des personnes qui commentent arrivent depuis Gravatar.